Le temps est venu de s’interroger ensemble et en Église sur cette question complexe, prégnante et importante pour la vie quotidienne et l’avenir.
Quatre objectifs pourraient être atteints au terme de ce travail :
Permettre le débat, une discussion théologique, localement et synodalement sur la question écologique, et sa place dans la vie de l’Église. Sur un plan de la réflexion, il s’agit de se demander en quoi la question écologique a une dimension spirituelle, théologique. S’occuper des questions écologiques, comment cela touche-t-il la foi en Jésus-Christ ? Comment les Écritures confrontent-elles l’Église à cette question ? Vers quelles perspectives ? Sur le plan de la vie de l’Église. Comment la préoccupation écologique s’intègre-t-elle dans l’annonce de l’Évangile ? Quelle place peut avoir la « dimension écologique » de l’existence dans le culte, la prédication, la catéchèse, etc. ? Dans la vie pratique de l’Église locale. Y-a-t-il des actions particulières qui sont menées au sein de la vie paroissiale ? Y-a-t-il des engagements spécifiques dans lesquels l’Église locale est présente ? Le conseil presbytéral est-il moteur en la matière ? Comment cela est-il perçu par la communauté ?
Saisir l’occasion du Synode national pour délivrer une parole publique de la part de l’Église. Dans cette perspective, il s’agit de pointer quelques grandes causes sur lesquelles il serait important d’interroger et d’interpeller la sphère politique sur le plan régional, national, européen.
Profiter de cette période synodale pour récolter les textes produits par les vies ecclésiales locales.
Un temps de recommandations pratiques sur le plan écologique pour la vie de l’Eglise protestante unie.
Bon travail, bonne réflexion à tous !
