Ses auteurs estiment nécessaire « de faire évoluer la législation vers une aide active à mourir, seule voie permettant d’ouvrir et de faciliter le libre choix de nos concitoyens pour leur fin de vie« . Un tel sujet, à la fois si personnel et intime, s’inscrit dans le cadre d’une responsabilité commune, citoyenne, institutionnelle et politique. Aider à mourir est en contradiction totale avec la philosophie des soins palliatifs. Masquer la mort volontairement donnée sous l’apparence d’un acte de soin semble éthiquement problématique.
Vous trouverez ci-joint des éléments de réflexion sur ce sujet, proposés par la Commission éthique et société de la Fédération protestante de France.