Pour les jeunes, qui ont besoin de respirer après une année d’enfermement et de limitation des relations, pour les bénévoles engagés depuis trois années dans cette préparation, sous la conduite de Christine Mielke, pour les Églises locales, qui ont été en difficulté pour maintenir les liens avec les jeunes durant tous ces mois, pour tous, le Grand KIFF sera une bouffée d’oxygène.
L’essentiel n’est pas « de faire du chiffre » ! Sans doute la situation conduira à ce qu’il y ait moins d’inscrits que les autres années. Mais l’essentiel, c’est que les jeunes qui viendront puissent vivre un temps de ressourcement, d’encouragement, de prière, de rencontre, et d’écoute de la Parole.
Alors bon Grand KIFF !
Emmanuelle Seyboldt
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